Ce dimanche 08 novembre 2020, le choix de Dieu s’est porté sur le frère Traoré Mamadou, Ancien à l’Eglise Evangélique des Assemblées de Dieu de la Riviera Palmeraie, temple Carmel, pour entretenir le peuple des AD Yopougon Port-Bouët 2, temple Bethsaïda. Le thème abordé par le Prédicateur était : Construisons des alliances dans l’immense gloire de cette dernière maison, avec pour textes de base : Psaumes 50v5 ; Agée 2v9 et Agée 1v13-15.
Le serviteur de Dieu a commencé son exposé en situant le contexte de cette histoire biblique dans la période post-déportation. C’est après les 70 ans passés hors de Jérusalem, que Dieu va donner au peuple d’Israël de bâtir ce temple. Pendant cette construction, les enfants de Dieu vont connaître des difficultés à tel point que le roi va leur demander d’arrêter les travaux. Dieu étant le Maître d’ouvrage, il ordonne à ses enfants de rebâtir ce temple pour la Gloire de son Nom. C’est ce que nous dit Esdras 6v6-12. Le roi donnera par la suite l’ordre de continuer les travaux de construction de la maison de Dieu.
L’orateur a révélé qu’il y a deux clés spirituelles que nous chrétiens, nous devons connaître et posséder. La première est celle de la sanctification. La sanctification nous donne accès à la présence de Dieu. La seconde clé est celle des bénédictions matérielles et financières. Par nos dons et nos offrandes à Dieu, nous établissons une alliance avec Lui. Et Dieu se souvient toujours d’une telle alliance ! Ces alliances fortes créent un lien entre Dieu et son peuple.
« Tout le monde allait adorer à Gabaon, mais Salomon a été bénit à cause de la manière dont il s’est rendu à Gabaon pour adorer. Il n’est pas allé dans la même posture que les autres »a fait remarquer l’Ancien Touré Mamadou, avant d’inviter le peuple des AD Bethsaïda à venir en semaine selon le programme établi, pour la suite de sa prédication.
Notons qu’avant d’entamer son homélie, sous inspiration divine, l’Ancien Traoré Mamadou a conduit un intense moment d’intercession en faveur de la Nation Ivoirienne, qui vit une crise postélectorale profonde.
La Rédaction